Général
Mogadiscio
Hargeisa
Bosaso
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Exigences de pots-de-vin aux checkpoints

Faux points de contrôle de sécurité

courante

En Somalie, des escrocs se faisant passer pour du personnel de sécurité officiel installent des points de contrôle improvisés sur les routes principales, en particulier entre des villes comme Mogadiscio et Hargeisa. Ils exigent des « amendes » ou des « taxes » en shillings somaliens (SOS), en invoquant souvent des violations comme une documentation inappropriée. Par exemple, ils pourraient exiger une taxe de traitement de 50 000 SOS pour un problème fabriqué, en exploitant l'histoire du pays en matière d'opérations de sécurité réelles pour confondre les voyageurs. Cela se produit fréquemment sur des routes comme l'autoroute A3, où les points de contrôle légitimes et faux se mélangent.

Comment éviter cette arnaque
  • Toujours emporter une identification officielle et des permis de voyage des autorités reconnues, et poliment demander à voir la pièce d'identité de l'officier avant de vous conformer.
  • Utilisez des applications GPS pour vérifier si vous approchez d'un point de contrôle légitime connu, et évitez les routes isolées après la tombée de la nuit lorsque les arnaques sont plus courantes.
  • Voyagez avec un guide ou un chauffeur local réputé qui connaît les itinéraires et peut distinguer les vrais points de contrôle ; prévoyez de payer environ 10 000-20 000 SOS pour leurs services afin de réduire les risques.

Échange de devises contrefaites

occasionnelle

Les changeurs dans les marchés animés ou près des aéroports en Somalie échangent des devises étrangères contre des shillings somaliens contrefaits, en arnaquant souvent les voyageurs en leur donnant des billets qui sont faux ou endommagés. Par exemple, un voyageur échangeant 100 USD pourrait recevoir 60 000 SOS au lieu du taux équitable de 71 000 SOS, le changeur invoquant une dévaluation ou utilisant un tour de passe-passe. Cela est courant dans les endroits d'échange informels du marché Hamar Jab Jab à Mogadiscio, en profitant des nouveaux arrivants non familiers avec les billets locaux.

Comment éviter cette arnaque
  • Échangez de l'argent uniquement dans les banques agréées ou les hôtels des grandes villes, où les taux sont transparents ; évitez les vendeurs de rue et insistez pour compter les billets sous une bonne lumière.
  • Familiarisez-vous avec les billets de shillings somaliens, en notant les caractéristiques de sécurité comme les filigranes, et utilisez des applications pour vérifier les taux de change actuels avant les transactions.
  • Gardez les transactions en dessous de 50 000 SOS pour limiter les pertes et photographiez le changeur et l'emplacement comme mesure de dissuasion, bien que discrètement pour éviter les confrontations.
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Surestimations des vendeurs de marché

Prix gonflés des marchandises

courante

Sur les marchés somaliens, les vendeurs exagèrent les prix des essentiels comme la nourriture ou les souvenirs, en ciblant les touristes en invoquant des pénuries ou une forte demande. Par exemple, dans les marchés généraux à travers le pays, une bouteille d'eau pourrait être vendue 500 SOS au lieu des 100 SOS standard, ou un artisanat traditionnel comme un panier tissé pourrait passer de 2 000 SOS à 5 000 SOS avec des histoires fausses de rareté, en exploitant l'accent culturel sur la négociation pour épuiser les visiteurs.

Comment éviter cette arnaque
  • Recherchez les prix moyens via des applications locales ou des sources fiables avant d'acheter, et négociez fermement mais respectueusement, car la culture somalienne valorise la négociation mais désapprouve l'agressivité.
  • Faites vos achats dans des magasins établis plutôt que dans des étals de rue, et payez avec la monnaie exacte pour éviter les disputes sur les factures ; portez de petites coupures de SOS pour prévenir les excuses de trop-payé.
  • Voyagez avec un compagnon local qui parle somali pour vérifier les prix et médiatiser, ce qui pourrait coûter un extra de 10 000 SOS pour leur assistance par jour.